1. |
Calme avant la folie
01:36
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...silence...
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2. |
Machination mentale
02:48
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Croire pouvoir tout surmonter sans trop prendre de risque
permettre à celui-ci d’oublier le vice
submergé, vaincu à terre de fatigue !
au fond gagnerons-nous toujours dans ce change ?
pourquoi y gagner-j’ai au change ?
Car je te le dis,
la limite me semble si fine,
la différence si subtile,
tout ce mélange dans ma tête,
mais tout est possible maintenant !!
machination mentale,
pris dans un tourbillon mélancolique,
virage serré à l’allure peu banale ,
on ne sait jamais ou l’on va ,
ou l’on va ?
Car je te le dis,
la limite me semble si fine ,
la différence si subtile,
tout ce mélange dans ma tête
car tout est possible maintenant !!
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3. |
Cause toujours!
02:02
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À Chaque fois le meme refrain se répète, telle la dernière variète sortie de l’été, qui te reste à vie dans la tête!
Causer pour causer, quelle bonne idée !
Penser puis causer , mieux vaut tout lâcher le plus tôt, sinon baaaaam!!!!
Cause donc toujours, mais mefie toi d’tes pensée !
Et si t’as langue va fourcher, défiles toi, ne reste pas là !!!
quand tu as le sentiment de puissance, que tu crois avoir le tout savoir
dis toi bien que tu te plantes.
Rien à faire, ne déballe pas tes affaires, tiens toi droit,
commence plutôt à apprendre à te taire, à te taire, à te taire !
Ecoutes toi
Cause donc toujours, mais mefie toi d’tes pensées !
Et si tu sens sentir ta langue agir trop vite, retourne la 7 fois, 10 fois et tu retournes, et tu tournes, tu retournes , et tu tournes, tu retournes mainte fois.
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4. |
Que ferons-nous demain?
03:34
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L’espace d’un moment, prendre le temps d’arrêter, prendre le temps de s’arrêter.
Se retourner, regarder en arrière et constater que nous sommes aspirés
dans le tourbillon.
Rien ne sert de courir, rien ne sert de s’agiter, à l’instant T prendre le temps de respirer, puis doucement avancer, doucement, avancer
Que ferons-nous demain ?
L’espace d’un moment, assis à terre ce demandant; "pourquoi on resterait ici ?" Ici-bas, ici ou ailleurs, sans but, sans choix.
Le choix tu l’as, dans le regard des autres, tu pourras toujours tout remettre en question, le temps avancera sans toi, il faudra choisir
Que ferons-nous demain ?
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5. |
Spirale saisonnière
02:53
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Aux jours embrasés, à l’ombre d’une chaleur,
La vie hors des demeures allait papillonner.
Ce temps a été, dans l’ardeur solaire,
Le long des tiges brulais un souffle de fraîcheur.
(Et) l’automne qui récolte les fruits du labeur, laisse un froid et une pierre en lieu et place du cœur,
Comme un lierre sous la branche qui attend la lumière Ou la graine en dormance que se réchauffe la terre.
Au cœur de l’hiver, quand la vie est caduque de vert soin en forêt plus que lichens et mousse.
Dans ce froid persistant, houx et fragons rustiques, Quand la couleur des fleurs a noirci dans l’humus.
Mais ce même cœur blessé garde un cordon de sève qui tressera au printemps toute la vigueur du frêne.
Le vieux bois sénescent s’en retourne au terreau,
Des mémoires de l’ancien naissent de jeunes rameaux.
Le vieux bois laisse de jeunes rameaux
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6. |
Les beaux jours
03:10
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Comment ce dire que toutes les étoiles se ressemblent,
la magie s’en va ,les rideaux se lèvent, les regards s’abandonnent, le soutien moral.
Que dire, que faire si l’éternel se blesse?
Quand viendront les beaux jours, les jours sans pluie les jours heureux, en tete à tete nous dînerons,
il n’y aura plus rien que du soleil dans tes yeux, dans tes yeux bleus nous serons là, en tete à tete.
Et là, la lumière soudain s’éternise sur le divan,
je cherche encore le mois d’avril!
n’y a t-il rien malgré nous, rien de plus que nous?
Dans le ménage de l’ennui j’illumine nos souvenirs !
Quand viendront les beaux jours, les jours sans pluie les jours heureux, en tête à tête nous dînerons !
il n’y aura plus rien que du soleil dans tes yeux, dans tes yeux bleus en tete à tete nous dînerons
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7. |
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accepter les divergences
sans ignorer les possibles
étendu infini
ton attitude en lassitude
compatis ne compatis pas
ne mise pas tout, ne mise pas tout
sur les apparences
Qui te dit que je te suis,que je te suivrais,
jusqu’au bout de la nuit?
détourner des regards envieux
éviter les prolongations
ne pas ce plier au démon !
accepter les non ressemblances
laisses toi une part de mystère, laisses toi !
laisse le donc, laisse le donc, ne te laisse pas distraire
laisse le donc, laisse le donc
Qui te dis que je te suis ?
que je te suivrais
jusqu’au bout de la nuit
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8. |
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Ce crépitement de l'ancien objet, cet héritage véritable tu le sais, sans un sens, des centaines se ressentent.
Je hais le mot et le texte si réducteur, dans un langage pour aimer l'au- delà qui s'écoule sans voilage.
Ce vécu qui traverse ce grand tout à nu, l'étalage de nos sens, de nos voix de nos âges, je m'écoule de l'intérieur, c'est une fuite qu'on ne connait plus.
C'est d'un mélancolique et pour un meilleur on attend, on attend, juste pourquoi d'ailleurs, on le sait, on l'a, maintenant et c'est tout, qui l'enseigne d'ailleurs, d'un aieul autrefois on n'est plus que seulement soit qui l'enseigne d'ailleurs.
Entrainé dans une valse venimeuse, un sillon apaisant, dans une dominante tristesse, dans la marche je m'ecris;
"Lucide est mon piano quand je danse dans mes mots".
Je dessine qui je suis et je joue sur les formes.
Je joue et je vacille mais le fond est solide,
je me cogne je me frappe, je me blesse! Qu'elle est il?
c'est sans importance puisqu'il nourrit tout ce que je suis.
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Little Brown Bear Nantes, France
Dans la tanière du petit ours brun on s'emmitoufle dans la chaleur des mélodies, on se blottit contre une guitare folk et on laisse l'esprit vagabonder dans la sincérité du texte...jusqu'à bientôt percevoir la caresse d'un feu de camp et l'histoire contée par les ombres sur les parois de la caverne! ... more
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